Vous souhaitez céder votre résidence principale ? Découvrez 3 erreurs à ne pas commettre pour ne pas mettre en péril votre projet.
Chaque année, environ 800 000 transactions immobilières se concrétisent en France. Plus de la moitié de ces ventes sont réalisées par des professionnels qui, en conseillant leurs clients, permettent d’esquiver certaines erreurs. Si les agents immobiliers sont capables d’éviter de nombreuses maladresses, le propriétaire reste un acteur central du projet. Il peut donc mettre en péril la vente de sa résidence principale s’il commet certaines fautes.
Surévaluer son bien, entreprendre une communication bancale, ou ne pas respecter ses obligations sont autant d’erreurs qu’un agent immobilier évitera de commettre. Mais d’autres dépendent davantage du propriétaire et son attitude. Aujourd’hui, L’Immobilière Béryl présente 3 erreurs à ne pas commettre lors de la vente de sa résidence principale.
Ne pas chercher à mettre en valeur son bien
L’acte d’achat en immobilier, comme ailleurs, repose en partie sur l’émotionnel. Ne pas considérer cela risque de freiner la concrétisation d’une opération. Le propriétaire doit tout faire pour mettre en valeur son bien. Idéalement, ces actions pourraient déclencher un coup de cœur. Dans tous les cas, cela incitera les acquéreurs à passer à l’action. La mise en valeur d’un bien réduit les délais et optimise le prix de vente.
Certaines prestations comme des photographies professionnelles ou du home staging permettront, par l’intervention d’un professionnel, de présenter un bien sous son meilleur jour. De même, la présentation d’un certificat de luminosité, la mise sur le marché à la bonne saison ou l’organisation de visites à des horaires avantageux ne pourront qu’être bénéfiques pour un projet de vente.
Mais certaines actions du vendeur permettront également de rendre plus attrayant un actif. Par exemple, il est important de ranger son logement avant chaque visite. La réparation des objets et la réalisation de certaines menues réparations contribueront aussi à la conclusion d’un accord dans des conditions optimales.
Ne pas bien accueillir les visiteurs
Une transaction immobilière reste une relation commerciale et tous les visiteurs sont de potentiels acquéreurs. Il faut donc soigner la relation pour ne pas faire capoter l’opération. Pour cette raison, accueillir les visiteurs dans de bonnes dispositions est primordial. Cela peut passer par diverses actions. Voici trois exemples :
- Réserver une place de stationnement si l’environnement du bien dispose de peu de places de parking.
- Proposer toujours à boire aux visiteurs.
- Proposer de s’asseoir lors d’une discussion.
Bon à savoir : Mettre une tarte au four où allumer sa cheminée pour créer une ambiance cosy et agréable peut favoriser le coup de cœur.
Être omniprésent
Afin de ne pas éveiller les soupçons ou par peur de décevoir, certains comportements peuvent devenir des réflexes néfastes. C’est notamment le cas d’une omniprésence dans les paroles et dans les actes.
Il faut laisser le temps aux visiteurs de s’imprégner de l’ambiance et de l’intérieur. Il est essentiel qu’ils s’imaginent dans le bien pour que la visite débouche sur une offre d’achat.
En plus, de trop nombreux commentaires pourraient mettre la puce à l’oreille et inquiéter les interlocuteurs. Le vendeur doit être meneur et répondre de manière honnête et transparente à toutes les questions, mais il ne faut pas en faire trop. Il faut également éviter de trop enjoliver la situation et ne pas cacher des sujets importants.
L’Immobilière Béryl —